Lorsqu’on demande aux spécialistes quel est le minéral ou l’oligo-élément dont le déficit concerne le plus nos concitoyens, leur réponse ne manque pas de surprendre. Ils ne désignent pas le fer, ni le magnésium, ni le calcium, mais un autre élément bien moins connu : le sélénium. Qui est-il, à quoi sert-il et qu’en est-il des sportifs ?
Face à l’inflammation, on peut réagir autrement que par la prise de médicaments. Quelques règles simples d'alimentation suffisent pour diminuer les risques.
Et si votre gestion du stress, et donc votre violence, pouvait être conditionnée par ce qui se trouve dans votre assiette ? C’est un des textes dont on souvient longtemps après l’avoir écrit et qui, quand on en évoque l’idée dominante autour de soi, ne manque pas de surprendre ou de désarçonner son interlocuteur. En effet, considérer que notre manière de manger peut conditionner tout simplement notre facilité à franchir les barrières de la légalité, çà a de quoi...
Dans l’arsenal des outils dont dispose le sportif moderne, la biologie n’est pas le moins performant. Mais c’est aussi celui qui se prête le plus à des spéculations, à des extrapolations hasardeuses ou à des contresens monumentaux. Depuis une dizaine d’années, je m’appuie sur des outils biologiques qui permettent de toucher du doigt la « charge interne » subie par l’organisme de l’athlète.